JO d'ATHENES
Ca finit mieux.
JO: 1re médaille d'or de l'histoire pour Israël
Source
: http://www.infoweb-j.net/
Gal Fridman a remporté la première médaille d'or
olympique de l'histoire de l'Etat d'Israël en s'adjugeant mercredi (25 août)
l'épreuve de planche à voile Mistral messieurs des jeux Olympiques d'Athènes.
Fridman, déjà médaillé de bronze à Atlanta en 1996, a devancé le Grec
Nikolaos Kaklamanakis, grand favori de l'épreuve, et le Britannique Nick
Dempsey. (...) Avant l'or de Fridman, Israël avait amassé une médaille
d'argent et trois de bronze au cours de son histoire olympique.
Les
jeux olymp…hic
Par Paule-Hélène
Szmulewicz pour Guysen Israël News 11 mai 2004 / 22:14
Si
vous ne vous êtes pas encore promenés sur le site officiel des jeux olympiques
d’Athènes 2004, c’est le moment, nous sommes à “J moins 94”.
On y trouve des renseignements d’ordre général sur les pays participants.
Au
sujet d’Israël, on apprend que la superficie est de 20.770 km2, que la
population est de 6.116.533 d’habitants, que la monnaie est le nouveau shékel,
que les langues parlées sont l’hébreu et l’arabe, et au sujet de la
capitale, on apprend… rien du tout !
A côté du mot CAPITALE, il y a un gros blanc. La place est vide. Il y a bien
une petite étoile qui pourrait faire penser au drapeau israélien, mais il
n’en est rien, il s’agit d’une minuscule astérisque qui renvoie en fin de
page où il est écrit :
“ *veuillez visiter le site officiel des Nations unies pour de plus amples
informations relatives à la capitale d’Israël.”
Allons-y pour la visite, puisque nous sommes sur le site des jeux olympiques,
soyons sportifs.
Une fois arrivés sur le site des Nations Unies, on voit écrit à nouveau le
mot CAPITALE… et à nouveau c’est le blanc. La place est vide.
En regardant bien, on voit en haut à droite du mot, non pas une astérisque
mais un minuscule petit “a)” … qui renvoie lui aussi en bas de page.
En bas de page on lit ceci :
“a)la désignation Jerusalem capitale d’Israël est fournie par Israël. La
position des Nations Unies sur la question de Jerusalem est contenue dans la résolution
de l’assemblée générale 181(II) du 29 nov. 1947 et dans les résolutions
subséquentes de l’assemblée générale et du conseil de sécurité
concernant cette question.”
Le marathon est terminé.
On a appris que l’État d’Israël a désigné sa capitale. Quoi de plus
naturel pour un pays?
Au fait ? qu’en dit le dictionnaire ?
Sur le Petit Robert 2 , quatrième édition 1980 ( n’en ayant pas de plus récente
sous la main), on lit : “Jérusalem (hébr.‘la paix apparaîtra’)…
capitale déclarée de l’État d’Israël en dépit de la contestation
absolue de ce titre par les états arabes”.
Intéressant de voir qu’en vingt cinq ans, la définition a perdu du crédit.
De contestée par les états arabes, la capitale est devenue contestée tout
court. C’est, du reste, la seule capitale contestée sur le globe. Contestée
et même refusée puisqu’à la place de son nom, la place est vide.
Quoiqu’il en soit, cette semaine à la fin de chabath, samedi soir, il y avait
des feux de joie partout dans la capitale et à travers le pays. La CAPITALE
n’était pas vide. Jusqu’aux heures tardives de la nuit, elle était remplie
d’enfants de tous âges qui chantaient, parlaient, riaient et attisaient les
flammes en remettant des bûches de bois qu’ils avaient amassées en attendant
ce jour de Lag Ba’Omer, marquant entre autre la commémoration de Rabbi Shimon
Bar Yohaï qui au deuxième siècle, vécu une partie de sa vie caché dans une
grotte avec son fils, Rabbi Eliezer. Les romains l’avaient condamné à mort,
lui et tous ceux qui enseignaient la Torah afin d’empêcher la continuïté de
sa transmission de génération en génération.
Messieurs les romains et consort, vous avez perdu: l’enseignement de Rabbi
Shimon Bar Yohaï a été écrit par ses propres élèves, publié, divulgué,
gravé pour toujours dans le livre du Zohar, étudié ici même aujourd’hui,
sur la Terre de sa condamnation.
Coupables d’étudier la Torah hier, coupables d’être les seuls
aujourd’hui à pouvoir garantir la protection des lieux sacrés et des
croyances qui planent sur la CAPITALE… une tentative comme tant d’autres de
vouloir rayer la présence d’un judaïsme en permanence renouvelé et bien
vivant quelqu’en soient les embûches (oh combien nombreuses) à travers les
époques.
Chaque époque aura eu ses “méthodes”. Interdiction d’étudier,
interdiction de pratiquer le judaïsme, autorisation de massacrer par l’épée,
confiscation des biens, autorisation de brûler sur des bûchers, autorisation
de se livrer à des pogroms, tout cela pour aboutir au bouquet final de la
solution finale formulée et agencée par un pays “civilisé” du monde
“civilisé”.
La place vide laissée à côté du mot CAPITALE est l’un des soubresauts de
tout ce qui précède.
Si les organismes mondiaux, les Nations Unies, et les gouvernements refusent de
désigner la capitale de l’État d’Israël par son nom, les individus de
toute tendance et de tous pays savent, eux, bien au delà de leur passion ou de
leur haine que la capitale d’Israël c’est Jerusalem ( Yeroushalaïm ).